En ces temps de troubles et de réflexion sur les valeurs de notre quotidien, la mondialisation stigmatise les pires maux, semblant recueillir à elle seule l’entière responsabilité de la situation actuelle. Il faudrait donc ainsi opposer une sorte de totalitarisme planétaire à un intégrisme local, blackbouler des siècles d’échanges au profit d’une autarcie de bon aloi, est-ce réellement là la bonne solution ?